Ne pas camper dans un parking

Le Code de la route ne fait pas vraiment de distinction entre les véhicules simples et les camping-cars. Ainsi, ces derniers ont tout à fait le droit de se stationner sur n’importe quel parking, du moment qu’il ne gêne pas. Cela peut être pratique lorsque vous faites par exemple une petite escale dans une ville. Cependant, vous n’avez pas le droit de camper sur cet air de stationnement. Vous devez de ce fait éviter certains gestes tels que placer des cales, déployer votre antenne TV, déployer votre toit, etc. Tant que vous ne faites aucun geste de camping, même si vous restez dans votre véhicule, vous ne risquez rien.

Les aires d’accueil

Chaque municipalité peut disposer d’aires de stationnement dédiées aux camping-cars. Les règles qui régissent ces aires d’accueil dépendent de chaque municipalité. Cependant, les actes de camping y sont normalement autorisés. Vous pouvez ainsi y déployer votre mobilier de jardin, étendre votre linge, etc. Il se peut toutefois que vous ayez besoin de demander l’accord du voisinage avant de vous mettre à votre aise.

Louer un emplacement dans un camping

De nombreux établissements de camping à travers le territoire Français permettent de louer des emplacements de camping-car. En effectuant une location auprès de ce type d’établissement, vous pouvez normalement disposer de votre espace sans aucune contrainte. Il vous est même possible d’y stationner aussi longtemps que vous le souhaitez, du moment que vous payez les frais de location. En vous établissant dans un camping, vous avez en plus la possibilité de profiter des divers services que l’établissement met à la disposition de ses vacanciers. Un camping reste par conséquent le meilleur endroit où garer son camping-car.

À quoi penser pour l’hôtel et le séjour avec un enfant ?

En rapport avec l’hôtel et le séjour avec un enfant, il est recommandé de choisir un hébergement qui propose un lit bébé ou un lit enfant. Dans toute l’Europe, de très nombreux établissements tiennent compte de ce besoin, et il ne faut pas hésiter à le spécifier lors de la réservation. Si on a un lit parapluie, cela peut être une solution intéressante. Ou encore un lit nomade, transportable partout. Ce sont là quelques idées pour l’hôtel et le séjour avec un enfant.

D’autres options pour l’hôtel et le séjour avec un enfant

Dans des contrées lointaines, il se pourrait que l’on ne puisse disposer d’un lit bébé. Pendant les préparatifs pour s’occuper de l’hôtel et du séjour, il est conseillé de poser la question à ce sujet pour ne pas être pris au dépourvu. Alors, l’option, c’est de réserver un lit king size, très courant en Asie. Et alors, on se met au cododo ! Quant au séjour, il vaut mieux respecter le rythme de l’enfant, faire la visite des lieux ou une activité quelconque le matin et revenir à l’heure de la sieste. D’où l’intérêt d’un hôtel en plein centre ville pour pouvoir rentrer facilement et rapidement. La question de l’hôtel et le séjour ainsi organisée, on profite au maximum de chaque instant.

Miser sur un bon équipement

Le plus important est de s’équiper d’un bon vélo avant de partir. Un VTT ou un VTC de bonne qualité est l’idéal. Assurez-vous d’avoir un porte-bagage, un garde-boue et une selle confortable. Veillez aussi à emporter votre équipement de dépannage (pompe, chambre à air, tournevis, jeu de clés…), à vérifier l’éclairage, et à miser sur un bon casque, des lunettes et un antivol.

Mettre au point un itinéraire

Établir un itinéraire est obligatoire dans un périple à vélo. Pour cela, il vous faut collecter le plus d’information sur le circuit que vous désirez parcourir. Un itinéraire bien établi vous permettra d’estimer le nombre de kilomètres à parcourir ainsi que les étapes pour faire du tourisme et pour votre hébergement. Se renseigner permet également de savoir si la région que vous allez visiter possède un circuit cyclable et d’avoir une idée sur l’état des routes. Prévoyez aussi des jours de repos, car vous en aurez besoin après avoir pédalé des kilomètres. S’il vous est difficile de mettre sur pied un itinéraire, sachez qu’aujourd’hui, il est possible d’avoir recours à une agence de voyage de tout organiser pour vous.

S’entrainer pour être en forme

Même si vous ne prévoyez pas un tour du monde à vélo, il vous faut quand même avoir une forme physique au top. Si c’est la première fois que vous partez en cyclotourisme, entrainez-vous régulièrement sur votre vélo. Pensez à votre santé en emportant une trousse de secours, des vêtements adaptés selon le climat ainsi qu’une bonne crème solaire. Pour être à l’abri d’une éventuelle imprévue, souscrire à une assurance voyage peut être indispensable.

Opter pour l’hébergement spontané

Dans certaines parties du monde, il est encore possible de frapper à la porte des gens et demander s’ils ont un lit disponible pour une nuit. Parfois, lorsque l’hôtel n’existe pas, se loger chez l’habitant reste l’unique option. Il arrive que les hôtes eux-mêmes ne dorment pas dans de chambre confortable. Ainsi, la sécurité et la chaleur d’un foyer remplaceront le confort d’un lit. La promiscuité pourra gêner, par contre, l’économie réalisée sera réelle. Pensez juste à faire un cadeau à la hauteur de l’accueil.

Faire du camping sauvage

Le camping sauvage constitue une autre solution d’hébergement économique. La plupart du temps, c’est gratuit. Vous devez juste venir avec une tente que vous déploierez spontanément dans un parc ou un jardin public. Si c’est pour une nuit, il se peut que les autorités locales tolèrent cette invasion. Certains sites touristiques peuvent également devenir un terrain de wild camping, le temps d’un soir. C’est le cas de certaines places publiques ou aéroports internationaux.

Les échanges de service ou d’appartement

Le free camping tout comme l’hébergement spontané, sont deux options assez hasardeuses. Alors, elles se réservent aux voyageurs solitaires ou aux duos. Pour les familles, il faudra envisager d’autres solutions plus sécuritaires. Vous pouvez vous rapprocher d’un réseau qui propose de louer des logements des particuliers au profit de voyageurs qui ont eux-mêmes mis leurs maisons à disposition. Parfois, les échanges de service peuvent se négocier. Si vous avez une compétence particulière, alors vous pourrez le proposer aux commerçants ou aux aubergistes locaux contre un lit.

Les objets réglementés en vol : en cabine

Il existe un certain nombre d’objets réglementés en vol, plus précisément en cabine. Ce sont les allumettes avec frottoir, certains briquets, les petites bouteilles d’oxygène ou de gax à des fins médicales. Y compris parmi les objets réglementés en vol également les appareils électriques du genre lampes sous-marines ou de plongée à très haute intensité. On peut encore citer les aérosols à but thérapeutique, ménager, sanitaire mais qui ne sont pas inflammables ni toxiques. Pareillement la glace carbonique, les ampoules LED, fluorescentes et halogènes.

Et pour la soute, quels objets réglementés en vol ?

Les objets réglementés en vol et qui doivent aller en soute sont les suivants : les fauteuils roulants, les scooters et autres aides à la locomotion. De même que les appareils électriques pouvant produire une chaleur importante. Les piles ou les batteries au lithium ou à combustible intégrées dans un appareil électronique ou médical font également partie des objets réglementés en vol, notamment en soute. Puis, les cartouches d’armes de chasse ou de sport qui ne sont ni explosives ni incendiaires. Les boissons alcoolisées aussi ainsi que les appareils fonctionnant avec de l’essence ou du gaz oil.

À savoir si on veut voyager avec un handicapé

Ce qu’il faut savoir lorsqu’on envisage de voyager avec un handicapé, c’est qu’une foule de choses leur sont accessibles. Comme il y a environ 15% de la population mondiale qui souffre d’une forme de handicap, des infrastructures, dispositions, services et prestations leur sont dédiés. En termes d’hébergement, un peu partout dans le monde, notamment dans les grandes villes, de nombreux hôtels ou chambres d’hôtes ont apporté des aménagements dans leurs locaux afin d’accueillir confortablement les personnes à mobilité réduite. Voyager avec un handicapé devient vraiment plus facile.

D’autres informations utiles quand on veut voyager avec un handicapé

Si on programme de voyager avec un handicapé, il faut être au courant d’un certain nombre de choses. Par exemple, il est utile de savoir que la SNCF a développé ses offres de services en faveur des personnes en situation de handicap, aussi bien au niveau des gares que des trains. Pareillement pour des compagnies aériennes pour que ces personnes se sentent à l’aise et en sécurité. Voyager avec un handicapé est maintenant faisable, plus aisé et les structures d’aides augmentent de plus en plus.